Les récentes coqueluches du NME ne seraient qu'une nouvelle version d'Editors. On y retrouve les ambiances lourdes et ténébreuses du quartet de Birmingham, époque des débuts, ainsi que la voix grave et perforante du chanteur. Rien de neuf donc, mais vu les dernières évolutions d'Interpol, j'en connais certains qui ne feront pas la fine bouche.
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