Grand écart impossible : garder son identité rock - comprendre ses rythmiques à base de samples qui décapent et ses riffs de guitares rouillées, - en tentant le coup de la séduction grand public avec des arrangements plus maitrisés, plus variés mais aussi plus sages. Seul bémol, Alison Mosshart ne chante plus comme une chienne en chaleur mais comme une diva rock qui n'a plus rien a prouver. C'est beaucoup plus classe et raffiné que sur un album de Dead Wheather et moins teigneux que sur un disque des Kills. Question subsidiaire : d'où vient cette passion récurrente pour le ping pong ?
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Je le trouve super cet album !
RépondreSupprimeret j'adore le ping-pong.