Pour signer des albums de folk à la beauté aussi renfrognée, c'est surement avec le diable qu'il faut s'associer. Paul Marschall doit sans doute beaucoup à Nick Drake... Ou bien au diable lui même qui en échange d'on ne sais quoi, lui a permis d'atteindre les cimes du songwriting du jeune suicidé britannique. Peu importe The Devil And I est un disque à la sensibilité exacerbé qui évite toute sensiblerie.
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