Après être tombé très bas avec Rush, Jay Jay Johanson s'évertue a se refaire une virginité. Spellbound est le point d'orgue de cet effort. Oublié les arrangements de synthèse 80's, pour la première fois de sa carrière, il fait preuve d'une retenu et d'un épure jazzy qui lui va comme un gant. Comme il la joue sobre aussi vocalement, il obtient l'un des tous meilleurs disques qu'il n'a jamais fait. Ca fait plaisir de voir un tel talent enfin prendre sa mesure.
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L'Arnaqueur - The Hustler, Robert Rossen (1961)
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